L'épargne salariale en 2005
- 22 octobre 2007
- Dares Résultats N°44.1
En 2005, parmi les 8,4 millions de salariés du secteur marchand non agricole ayant accès à au moins un dispositif d’épargne salariale.
11 résultats
En 2005, parmi les 8,4 millions de salariés du secteur marchand non agricole ayant accès à au moins un dispositif d’épargne salariale.
Le coût des politiques de l’emploi est estimé à 30,4 milliards d’euros en 2005.
La dépense pour l'emploi (DPE) s'élève en 1988 à 200,1 milliards de francs, en augmentation de 3,9 % en francs courants, et de 1,1 % en francs constants par rapport à l'année précédente.
63 % des embauches ont concerné des hommes, ce qui traduit une légère déformation de la structure par sexe de l'emploi salarié dans le tertiaire marchand et le BTP, qui comprendrait 59 % d'hommes. Plus de quatre salariés sur cinq ont moins de 40 ans et deux sur cinq moins de 25 ans.
A la fin de l'année 1988, 4 600 accords d'intéressement étaient en cours d'application concernant prés d'un million de salariés. Depuis 1986, les petites entreprises ont versé sur les trois derniers exercices, les montants individuels moyens d'intéressement les plus élevés.
La dépense pour l'emploi (DPE) s'élève en 1986 à 182,4 milliards de francs, en augmentation de 7,5 % en Francs courants et de 4,7 % en Francs constants par rapport à l'année précédente. Ce dernier taux est comparable à celui observé en 1985 (+4,6 %).
Près de 36 000 personnes ont bénéficié en 1986 d'un stage de formation financé par le Fonds national de l'emploi à l'intention des chômeurs de longue durée, c'est-à-dire inscrits depuis un an au moins à l'ANPE ou en situation de chômage répétitif.
Le 31 janvier 1987 marque la fin du plan d'urgence pour l'emploi des jeunes. Conçues pour dynamiser l'embauche des jeunes par les entreprises et conjuguer l'accès à l'emploi et la formation, elles offraient trois modalités d'exonération des cotisations sociales aux entreprises.
Par ordonnance du 17 juillet 1986, le gouvernement a mis en place un dispositif d'urgence destiné à faciliter l'embauche des jeunes. Les embauches qui ont bénéficié de ces dispositions s'élèvent à 947 565 (chiffre provisoire, hors D.O.M.) du 1er mai 1986 au 31 janvier 1987.
Du 1er mai au 31 janvier 1987, le plan d'emploi a permis l'embauche ou l'entrée en entreprise de 947 565 jeunes pour la France métropolitaine, dont 109 872 au cours du mois de janvier