L’emploi intérimaire progresse modérément au 3e trimestre 2017
- 12 décembre 2017
- Dares Indicateurs N°078
L’emploi intérimaire se modère au 3e trimestre 2017 (+1,5 % soit +10 900 intérimaires, après +4,2 % au trimestre précédent).
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L’emploi intérimaire se modère au 3e trimestre 2017 (+1,5 % soit +10 900 intérimaires, après +4,2 % au trimestre précédent).
Au 2e trimestre 2017, l’emploi intérimaire est en hausse (+3,5 % par rapport à la fin du trimestre précédent) après avoir légèrement diminué au 1er trimestre 2017 (-0,5 %).
En 2015, 1,3 % des entreprises de 10 salariés et plus du secteur marchand non agricole déclarent avoir connu un ou plusieurs arrêts collectifs de travail, soit un taux équivalent à celui de 2014. Ces entreprises emploient 24 % des salariés du champ.
Au 1er trimestre 2017, l’emploi intérimaire en fin de trimestre s’inscrit en légère baisse (-1,3 %), après une forte hausse au 4e trimestre 2016 (+9,7 %).
En 2014, dans un contexte de croissance économique modérée, la dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage s’élève à 31,6 milliards d’euros.
À la fin du 4e trimestre 2016, l’emploi intérimaire est en forte hausse (+7,0 % par rapport à la fin du trimestre précédent, après +4,9 % au 3e trimestre). Cette forte hausse se ressent à la fois dans l’industrie (+7,2 %, après +4,2 %), dans la construction (+6,1 %, après +6,8 %) et dans le tertiaire (+7,4 %, après +4,7 %).
18 mois après leur inscription à Pôle emploi, 53 % des salariés licenciés pour motif économique entrés en contrat de sécurisation professionnelle (CSP) en avril ou mai 2014 occupent un emploi salarié ou ont créé une entreprise.
Au 3e trimestre 2016, l’emploi intérimaire en fin de trimestre repart à la hausse (+5,0 % par rapport à la fin du trimestre précédent, après +0,0 % au 2e trimestre).
Le nombre de contrats de travail temporaire signés trimestriellement est en progression régulière depuis trois trimestres : de l'ordre de 30 % comparé au même trimestre de l'année précédente et, en particulier 32,1 % pour le second trimestre de 1988.
En 1987, les conflits collectifs du travail ont été la cause d'à peine un million de journées non travaillées. Ce chiffre est inférieur à celui de 1986 et dépasse tout juste celui de 1985 pourtant l'un des plus bas depuis quarante ans.