Le syndicalisme face aux différentes formes de la flexibilité : enquête sur trois secteurs
- 7 décembre 2008
- Document d'études N°143
Cette étude compare les pratiques syndicales et les formes de mobilisation collective des salariés.
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Cette étude compare les pratiques syndicales et les formes de mobilisation collective des salariés.
Atteignant 27 milliards d’euros en 2006, la dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage s’est accrue d’un milliard d’euros (+3,9 %) par rapport à 2005.
Durant le cycle électoral 2005-2006, la participation aux élections aux comités d’entreprise a atteint 63,8 % des inscrits, soit une baisse d’un point par rapport à la période 2003-2004.
Environ 90 % des personnes interrogées déclarent avoir déjà entendu parler de la prime pour l’emploi (PPE). Une majorité d’entre elles connaît également les grands principes de ce dispositif.
Plus de 70 % des personnes âgées de 23 à 55 ans qui percevaient, en 2005, des revenus d’activité inférieurs à 1,5 Smic net occupent un emploi en 2007.
En moyenne sur la période 1989-2004, un peu plus de 26 000 comités d’entreprise et d’établissement, couvrant plus de 5,4 millions de salariés, ont été recensés par l’administration du travail à chaque cycle électoral.
Malgré la faiblesse du nombre de leurs adhérents, les organisations syndicales sont assez largement présentes sur les lieux de travail.
En juillet 2007, la hausse du SMIC horaire a touché 12,9 % des salariés des entreprises non agricoles et hors secteur de l’intérim.
Le chômage partiel permet à un établissement qui fait face à un choc conjoncturel de réduire temporairement son activité au-dessous de la durée légale ou d’arrêter momentanément toute ou partie de son activité.
En 2004, 1,9 millions de journées de chômage partiel, concernant 155 000 salariés, ont été autorisées en France métropolitaine.