Les yeux dans les yeux. Téléphone ou face-à-face : quel impact sur les réponses ?
- 4 décembre 2015
- Document d'études N°195
Interrogées au téléphone, les personnes donnent-elles les mêmes réponses que quand elles sont interrogées en face-à-face ?
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Interrogées au téléphone, les personnes donnent-elles les mêmes réponses que quand elles sont interrogées en face-à-face ?
En 2010, plus de 10 % des salariés, environ 2 250 000 personnes, ont été exposés à au moins un produit chimique cancérogène, mutagène ou reprotoxique (CMR) pendant la dernière semaine travaillée.
Une santé altérée en 2006 est défavorable au maintien dans l’emploi en 2010. Mais les actifs à la santé altérée qui restent en emploi connaissent plus souvent que les autres des changements favorables dans leur environnement familial et social.
Le chômage peut survenir en raison de problèmes de santé mentale, mais également fragiliser celle-ci.
Au 1er trimestre 2015, pour les établissements de 1 salarié ou plus, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, s’établit à 16,8 %, en hausse de 0,4 point par rapport au trimestre précédent. Sur un an, il gagne 1,5 point.
Ce numéro de Synthèse.Stat’ décrit, au travers de fiches, les expositions professionnelles des salariés aux différents agents chimiques.
Au 4e trimestre 2014, pour les établissements de 1 salarié ou plus, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, s’établit à 16,3 %, en hausse de 1,2 point par rapport au trimestre précédent. Sur un an, il gagne 1,3 point.
Au 3e trimestre 2014, pour les établissements de 1 salarié ou plus, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, s’établit à 15,0 %.
Les recrutements dans les établissements de 50 salariés et plus restent à un faible niveau pour le deuxième trimestre consécutif. L'essoufflement du rythme des embauches s'observe dans tous les secteurs. Il est un peu plus prononcé ce trimestre dans le secteur tertiaire.
Les recrutements dans les établissements de 50 salariés et plus chutent de plus de 10 % entre le quatrième trimestre de 1990 et le premier trimestre de 1991. Le taux d'entrée en données corrigées des variations saisonnières passe en effet de 7,8 % à 7,0 %.