L'apprentissage en 2017
- 12 octobre 2018
- Dares Résultats N°46
En 2017, 294 800 nouveaux contrats d’apprentissage ont été signés, 280 400 dans le secteur privé et 14 500 dans le secteur public.
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En 2017, 294 800 nouveaux contrats d’apprentissage ont été signés, 280 400 dans le secteur privé et 14 500 dans le secteur public.
En France, les ouvriers intérimaires, qui représentent la majorité des personnes en intérim et 8 % des ouvriers, sont très fortement exposés à des contraintes physiques dans leur travail.
En constante progression depuis la fin des années 1990, l’usage des outils informatiques, messageries et réseaux continue de se généraliser dans le quotidien d’une majorité de salariés, s’accompagnant de modifications notables sur leurs conditions de travail.
L’enquête Surveillance Médicale des expositions aux risques professionnels 2009-2010, conçue et réalisée par le Ministère du travail, est entrée en 2009 dans le cadre des grandes enquêtes statistiques reconnues par le conseil national de l’information statistique (CNIS).
En 2010, selon l’enquête Surveillance médicale des expositions des salariés aux risques professionnels (Sumer), 22,2 % des salariés sont exposés à des agents biologiques (bactéries, virus, parasites,champignons), soit plus de 4,7 millions de personnes.
Comment le travail peut-il contribuer au bien-être psychologique des personnes ? Quels sont les conditions de travail et les facteurs psychosociaux, de risque ou d’épanouissement, qui jouent le plus ?
Les conditions de travail en France se caractérisaient en 2010 par une intensité du travail équivalente à la moyenne des pays européens mais des salariés plus souvent exposés à un manque d’autonomie, à des exigences émotionnelles et à des conflits de valeur.
En 2008, 7,4 millions de personnes (14 % des 16 ans ou plus) prennent en charge un proche malade, âgé ou handicapé, pour des soins, actes ou tâches de la vie quotidienne.
Les changements organisationnels ont concerné quatre salariés sur dix en 2013. Ils peuvent être un facteur d’insécurité pour les salariés, du public comme du privé, et contribuer à dégrader leur santé mentale.
Cet article se propose dans un premier temps d’examiner l’endogénéité éventuelle de l’insécurité d’emploi par rapport au risque dépressif.