Recrutements en contrat aidé
- 6 août 2015
- Dares Analyses N°058
Selon les employeurs de contrats aidés du secteur non marchand, 64 % des embauches en CUI-CAE ou en emploi d’avenir n’auraient pas eu lieu sans l’aide financière de l’État.
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Selon les employeurs de contrats aidés du secteur non marchand, 64 % des embauches en CUI-CAE ou en emploi d’avenir n’auraient pas eu lieu sans l’aide financière de l’État.
Six mois après la fin de leur contrat aidé, les résidents des zones urbaines sensibles (Zus) sont moins souvent en emploi durable (CDI, CDD de plus de six mois, titulaire de la fonction publique ou travailleur indépendant) que les habitants des quartiers avoisinants.
Cette étude a pour objet d’évaluer l’impact causal du passage en contrat aidé (CIE, CAE, CAV et CI-RMA) sur la trajectoire professionnelle des demandeurs d’emploi.
Cette étude présente une évaluation de l'effet causal du passage en contrat aidé (CIE, CAE, CAV et CI-RMA) sur la trajectoire professionnelle des demandeurs d'emploi.
Cet article décrit les relations que les bénéficiaires de contrats aidés entretiennent à différents égards avec le marché du travail : parcours professionnel avant et après l'entrée en dispositif, perception de leur positionnement sur ce marché, ou opinion sur les contrats aidés.
Le Panel 2008 permet d’isoler l’effet du passage en contrat aidé et de répondre aux questions suivantes : les chances d’obtenir un emploi sont‑elles plus grandes après un contrat aidé ? Les emplois retrouvés sont‑ils de meilleure qualité ? Le contrat aidé ne fait‑il que différer l’accès à un emploi durable ?
Depuis la fin des années 1990, des exercices de prospective sur les métiers et les qualifications (PMQ) sont régulièrement menés afin d’examiner les perspectives en matière d’évolution des ressources en main-d’œuvre et d’emploi par métiers.
Depuis la fin des années 1990, des exercices de prospective sur les métiers et les qualifications (PMQ) sont régulièrement menés afin d’examiner les perspectives d’évolution des ressources en main-d’œuvre et d’emploi par métiers.
Jusqu’en 2014, toutes les entreprises étaient tenues de verser un pourcentage minimal de leur masse salariale au titre de la formation continue des salariés.
Jean Pisani-Ferry, commissaire général de France Stratégie, a remis ce jour à François Rebsamen, Ministre du Travail, de l'Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social, le rapport final et inédit Les métiers en 2022, réalisé en partenariat avec la Dares.