Les dispositifs publics d'accompagnement des restructurations en 2005
- 11 septembre 2006
- Dares Analyses N°37.2
En 2005, 1 270 plans de sauvegarde de l’emploi ont été notifiés, après 1 250 en 2004.
10 résultats
En 2005, 1 270 plans de sauvegarde de l’emploi ont été notifiés, après 1 250 en 2004.
Les entreprises sont souvent en dépôt de bilan lorsqu’un plan de sauvegarde de l’emploi est élaboré.
L’analyse des réponses jusqu’à mars 2003 montre que le CIE est efficace du point de vue du retour à l’emploi et de l’amélioration du niveau de vie, alors que les CES et les SIFE n’améliorent pas la situation des bénéficiaires par rapport aux trajectoires des témoins.
Les très petites entreprises (TPE) recourent davantage à des formes d’emploi à durée limitée ou à temps partiel et à des contrats aidés par l’État que leurs homologues de 10 salariés ou plus.
Au cours du troisième trimestre 1997, l'emploi salarié a progressé au même rythme qu'au trimestre précédent : + 32 000 emplois après + 31 000 au second trimestre (soit + 1 % en rythme annuel). L'amélioration qui s'est amorcée à l'automne 1996 se confirme mais ne s'accélère pas.
En 1996, l'activité économique avait enregistré des à-coups conjoncturels très accusés. Depuis la fin de 1996, l'évolution du PIB marchand non agricole apparaît plus régulière. Il progresse de 1,1 % au deuxième trimestre 1997 par rapport au trimestre précédent.
En 1996, près de 300 000 personnes ont été embauchées dans le cadre de Contrats initiative emploi. Les employeurs dont d'abord des entreprises du secteur tertiaire (68 % des embau- ches), ainsi que de très petits établissements. Ces caractéristiques se sont renforcées en 1996.
Les salariés des entreprises d'insertion sont majoritairement des hommes, relativement jeunes, d'un faible niveau de formation. Avant leur embauche par l'entreprise d'insertion la plupart, soit ont connu un emploi stable puis le chômage, soit ont enchaîné des emplois précaires.
Le premier trimestre 1997 se situe dans le prolongement de la fin de l'année 1996, confirmant les premiers signes d'amélioration enregistrés en matière d'emploi et de chômage.
L'essoufflement de la reprise de l'activité économique, observé au cours de l'année 1995, s'est traduit par des résultats médiocres en matière d'emploi en 1996 : en un an, les effectifs occupés diminuent d'environ 60 000 et le nombre des demandeurs d'emploi augmente de 90 000.