La garantie jeunes : quels jeunes et quel bilan après cinq ans ?
- 17 avril 2019
- Dares Analyses N°018
29 % des bénéficiaires sont en emploi 8 mois après l’entrée en dispositif, 41 % au bout de 19 mois.
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29 % des bénéficiaires sont en emploi 8 mois après l’entrée en dispositif, 41 % au bout de 19 mois.
À l’horizon de 8 mois, l’accompagnement par les OPP pris dans leur ensemble a augmenté significativement la proportion de jeunes occupant un CDD d’au moins 6 mois.
Les entreprises de 1 à 9 salariés (très petites entreprises ou TPE) regroupent 20 % de l’emploi salarié concurrentiel, hors agriculture et hors intérimaires et stagiaires.
En 2010, 148 000 nouveaux contrats de professionnalisation ont été comptabilisés, soit une hausse de 1 % en un an.
L’activité économique a ralenti au 3e trimestre 2010 (+0,3 % en variation trimestrielle, après +0,6 % au trimestre précédent).
Garçons et filles se répartissent à peu près également, Leur niveau de formation et de diplôme est légèrement plus élevé que la population des demandeurs d'emploi de même âge. 46 % d'entre eux avaient déjà exercé au moins un emploi avant le stage.
Le 31 janvier 1987 marque la fin du plan d'urgence pour l'emploi des jeunes. Conçues pour dynamiser l'embauche des jeunes par les entreprises et conjuguer l'accès à l'emploi et la formation, elles offraient trois modalités d'exonération des cotisations sociales aux entreprises.
Par ordonnance du 17 juillet 1986, le gouvernement a mis en place un dispositif d'urgence destiné à faciliter l'embauche des jeunes. Les embauches qui ont bénéficié de ces dispositions s'élèvent à 947 565 (chiffre provisoire, hors D.O.M.) du 1er mai 1986 au 31 janvier 1987.
Du 1er mai au 31 janvier 1987, le plan d'emploi a permis l'embauche ou l'entrée en entreprise de 947 565 jeunes pour la France métropolitaine, dont 109 872 au cours du mois de janvier