L'accompagnement des demandeurs d'emploi : enseignements des évaluations
- 12 décembre 2013
- Document d'études N°178
L’accompagnement des demandeurs d’emploi constitue le cœur des stratégies dites « d’activation » des chômeurs.
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L’accompagnement des demandeurs d’emploi constitue le cœur des stratégies dites « d’activation » des chômeurs.
Six mois après la fin de l’aide de l’État associée à leur contrat, 70 % des salariés sortis en 2011 d’un contrat aidé du secteur marchand sont en emploi (comme en 2010).
D’après les résultats d’une enquête réalisée par la Dares auprès de salariés ayant signé une rupture conventionnelle entre avril et juillet 2011, plusieurs circonstances conduisent à la rupture de contrat : des insatisfactions liées au salaire ou au contenu du travail (39 % des cas), une mésentente avec la hiérarchie ou le chef d’établissement (46 % des cas) ou encore l’existence d’un projet professionnel ou personnel (37 %).
En 2011, 16 % des personnes de 18 à 65 ans résidant en France métropolitaine, en situation d’être sur le marché du travail, éprouvent des difficultés dans au moins un des domaines fondamentaux de l’écrit.
Le nombre de ruptures conventionnelles s’est élevé à 320 000 en 2012, soit 11 % de plus qu’en 2011.
À la demande du comité d’évaluation de Pôle emploi, une évaluation de ces prestations d’accompagnement a été conduite, en comparaison des prestations équivalentes délivrées directement par les équipes de Pôle emploi.
En 2005, 1 270 plans de sauvegarde de l’emploi ont été notifiés, après 1 250 en 2004.
n 2002, la possibilité de suivre une formation est évoquée pour près de la moitié des chômeurs reçus en PAP02.
Les entreprises sont souvent en dépôt de bilan lorsqu’un plan de sauvegarde de l’emploi est élaboré.
Au 31 décembre 2003, 13 % des allocataires du revenu minimum d’insertion et de l’allocation de solidarité spécifique en bénéficiaient.