Conjoncture de l'emploi et du chômage au 1er trimestre 2010
- 8 juillet 2010
- Dares Analyses
L’activité économique a nettement ralenti au 1er trimestre 2010 (+0,1% en variation trimestrielle, après +0,6 % au trimestre précédent).
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L’activité économique a nettement ralenti au 1er trimestre 2010 (+0,1% en variation trimestrielle, après +0,6 % au trimestre précédent).
Fin 2007, l’ANPE (désormais Pôle emploi) était considérée par les employeurs ayant recruté en contrat aidé comme le principal vecteur de connaissance de ces contrats de même qu’un intermédiaire prépondérant pour le recrutement.
L’activité économique a nettement accéléré au 4e trimestre 2009 (+0,6% en variation trimestrielle, après +0,2 % au trimestre précédent).
En 2008, 358 000 contrats d’accompagnement dans l’emploi (CAE), contrats d’avenir (CAV), contrats initiative emploi (CIE) ou contrats insertion – revenu minimum d’activité (CI-RMA) ont été signés.
En juin 2009, près de 10 % des salariés des TPE sont en contrat aidé, contre plus de 20 % dix ans auparavant.
La reprise de l’activité initiée au 2ème trimestre 2009 s’est poursuivie au 3ème trimestre 2009 (+0,3 % en variation trimestrielle, comme au trimestre précédent).
La dépense pour l'emploi est estimée pour 1993 à 289 milliards de francs, soit une progression de 8 % en francs constants, la plus forte enregistrée depuis dix ans. Les dépense d'indemnisation du chômage en hausse de 5 % en représentent 43 %.
Au cours de l'année 1993, 2,2 millions de personnes ont bénéficié d'une des mesures de la politique de l'emploi, soit 12 % de plus qu'en 1992. Cette augmentation recouvre cependant des évolutions contrastées entre les deux semestres.
Les entreprises d'insertion se sont fortement développées depuis 1990. Qu'il s'agisse du nombre d'entreprises conventionnées, du nombre de contrats d'insertion signés ou de salariés en insertion, ces chiffres ont en moyenne presque triplé entre 1990 et 1993.
En 1993, les employeurs du secteur non marchand ont signé 660 000 contrats emploi-solidarité dont 439 000 nouveaux contrats et 221 000 avenants de reconduction, avec principalement des jeunes en difficulté ou des adultes chômeurs de longue durée.