Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre pendant la crise sanitaire Covid-19 en janvier 2022
- 25 février 2022
- Covid-19
29 % des salariés ont été au moins un jour en télétravail au cours du mois de janvier, soit + 5 points en un mois.
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29 % des salariés ont été au moins un jour en télétravail au cours du mois de janvier, soit + 5 points en un mois.
La crise sanitaire a favorisé une extension sans précédent du télétravail. En janvier 2021, 27 % des salariés le pratiquent, contre 4 % en 2019 ; 8 télétravailleurs sur 10 souhaitent le poursuivre, en réduisant cependant son intensité.
En janvier, l’activité se stabilise malgré la mise en place d’un couvre-feu renforcé sur l’ensemble du territoire.
Entre 2005 et 2010, le risque d’accident du travail a diminué dans les secteurs concurrentiels, en partie du fait du ralentissement de l’activité économique.
Les expositions aux risques professionnels varient fortement d’un secteur d’activité à l’autre, selon le risque considéré, du fait notamment des métiers et contraintes spécifiques à chacun de ces secteurs.
Les salariés des sous-traitants ont en moyenne davantage de contraintes que ceux des donneurs d’ordres en ce qui concerne les horaires et les rythmes de travail.
En 2009, 15,2 % des salariés (21,4 % des hommes et 9 % des femmes), soit 3,5 millions de personnes, travaillent la nuit, habituellement ou occasionnellement.
À métier et secteur d’activité comparable, les salariés immigrés, et plus particulièrement les étrangers, ont des conditions de travail spécifiques. Les immigrés sont davantage exposés à des postures « pénibles ou fatigantes à la longue ».
Les très petites entreprises (TPE) recourent davantage à des formes d’emploi à durée limitée ou à temps partiel et à des contrats aidés par l’État que leurs homologues de 10 salariés ou plus.
En 1998, tous secteurs confondus, 62 % des salariés, soit près de 11 millions, déclarent être en contact direct avec le public, proportion quasi stable depuis 1991.