Autonomie dans le travail
- 4 avril 2019
- Synthèses Stat/Éval' N°026
En 2016, 30,2 % des salariés déclarent qu'ils ne peuvent pas interrompre momentanément leur travail quand ils le souhaitent.
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En 2016, 30,2 % des salariés déclarent qu'ils ne peuvent pas interrompre momentanément leur travail quand ils le souhaitent.
Entre 2010 et 2015, 7 % des personnes ont changé de région de résidence selon l’enquête Formation et qualification professionnelle réalisée par l’Insee.
En France, les ouvriers intérimaires, qui représentent la majorité des personnes en intérim et 8 % des ouvriers, sont très fortement exposés à des contraintes physiques dans leur travail.
Ce numéro de Synthèse.Stat’ porte sur l’autonomie des salariés dans la réalisation des tâches qui leur sont confiées ainsi que sur la façon dont le travail leur permet ou non de se développer personnellement.
Les rythmes et modes d’organisation du travail ont beaucoup évolué au cours de ces dernières décennies : augmentation du travail le week-end, accroissement de l’irrégularité et de l’imprévisibilité des horaires et réduction des temps de travail.
Les risques psychosociaux au travail sont divers et peuvent affecter la santé physique et mentale des salariés, notamment en cas d’expositions multiples.
L’enquête « Santé et itinéraire professionnel » (SIP) a pour objet les interactions entre le travail, l’emploi et la construction ou l’altération de la santé, en prenant en compte les décalages temporels.
Les conditions de travail ne sont, d'une façon générale, ni plus difficiles ni meilleures dans la fonction publique que dans le secteur privé.
Le travail en juste-à-temps accroît les contraintes de rythme et notamment le poids de la surveillance hiérarchique.