Évaluation de programmes et dispositifs visant l’intégration professionnelle des réfugiés
- Du 17 février 2020 au 16 octobre 2020
9 résultats
Selon l’enquête « Elipa » de 2010, 13 % des immigrés ayant obtenu un premier titre de séjour d’au moins un an en 2009 sont des réfugiés.
Il est plus difficile pour les immigrés que pour les natifs de trouver un emploi dans leur pays d’accueil.
La sociabilité hors du groupe d’origine est un vecteur important d’intégration à la société d’accueil pour les populations d’origine étrangère.
Selon l’enquête « Elipa » de 2010, les personnes ayant obtenu un premier titre de séjour d’au moins un an ont connu des changements de positions socioprofessionnelles importants après leur arrivée en France.
En 2011, 4 millions d’immigrés âgés de 15 à 64 ans résident en France métropolitaine, représentant 10 % de la population en âge de travailler. 30 % d’entre eux sont nés dans un pays de l’Union européenne (UE), 31 % au Maghreb, 15 % en Afrique subsaharienne, et 24 % dans un pays européen hors UE ou sur un autre continent que l’Afrique.
Les fils et filles d’immigrés sont souvent d’origine ouvrière : selon l’enquête Trajectoires et Origines de 2008, deux descendants d’immigrés sur trois avaient un père ouvrier lorsqu’ils avaient 15 ans contre 39 % seulement des personnes sans ascendance directe immigrée (« population majoritaire »).
« D’après vous, parmi les caractéristiques suivantes, quelles sont celles qui vous définissent le mieux ? ». C’est en choisissant au plus quatre caractéristiques parmi une liste de quinze que les personnes interrogées dans l’enquête Trajectoires et Origines (TeO) étaient invitées à définir leur identité.
Les personnes ayant obtenu un premier titre de séjour d’au moins un an en 2006 ont souvent mobilisé leurs réseaux de relations personnels et familiaux pour s’insérer sur le marché du travail après leur arrivée en France.