L'activité des associations intermédiaires
- 9 avril 1988
- Dares Analyses N°80
En termes de créations d'associations intermédiaires, les mois d'octobre et de novembre sont les plus actifs en 1987.
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En termes de créations d'associations intermédiaires, les mois d'octobre et de novembre sont les plus actifs en 1987.
Depuis la mise en place du dispositif (avril 1987) jusqu'au 25 décembre 1987, 3 773 conventions ont été signées, ouvrant 15 198 places de stage. Au cours de l'année, 4 187 bénéficiaires se sont inscrits.
Le recul de la C.G.T. se poursuit, mais à un rythme plus lent ; la C.F.D.T., la C.F.T.C. et les "autres syndicats" sont à peu près stables. Les non-syndiqués continuent leur progression, de même que, à un degré moindre, F.O. et la C.G.C.
En 1986, les flux d'immigration active et d'immigration familiale ont été maintenus à un niveau très réduit. Les entrées d'actifs permanents et temporaires étrangers se stabilisent à un niveau bas, autour de 11 000 personnes.
Près de 36 000 personnes ont bénéficié en 1986 d'un stage de formation financé par le Fonds national de l'emploi à l'intention des chômeurs de longue durée, c'est-à-dire inscrits depuis un an au moins à l'ANPE ou en situation de chômage répétitif.
En décembre 1985, 788 000 salariés étrangers étaient employés dans les établissement de 10 salariés et plus du champ de l'enquête. Ils ne représentent plus que 8,3 % des salariés en 1985 contre 9,2 % en 1982, 10,2 % en 1979 et 10,5 % en 1976.
L'année 1985 s'inscrit dans le prolongement de 1984 : tarissement de l'immigration active permanente, baisse tendancielle de l'immigration familiale et de l'immigration saisonnière.
Au 31 décembre 1985 sur 34 513 établissements de 50 salariés et plus, 19 815 soit 57,4 % possédaient au moins un délégué syndical
L'année 1985 est marquée par l'apparition de la SNCF dans le champ des comités d'entreprise (les élections de 1983 à la SNCF avaient été annulées). Le recul de la CGT et de la CFDT se poursuit.