Revue Travail et Emploi - La discrimination syndicale en question : la situation en France - N° 145 (2016)
- 9 novembre 2016
- Revue Travail et Emploi N°145
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Les décisions sur les conditions et le temps de travail sont celles qui occasionnent le plus fréquemment des concertations collectives.
En 2013, 11 % des salariés adhèrent à une organisation syndicale. Les salariés de la fonction publique sont deux fois plus syndiqués que ceux du secteur marchand et associatif.
En 2013, 16 % des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur marchand non agricole ont engagé des négociations collectives. Cette proportion, stable par rapport à 2012 (- 0,2 point), atteint 88 % dans les entreprises dotées de délégués syndicaux.
Au 1er trimestre 2015, pour les établissements de 1 salarié ou plus, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, s’établit à 16,8 %, en hausse de 0,4 point par rapport au trimestre précédent. Sur un an, il gagne 1,5 point.
Au 4e trimestre 2014, pour les établissements de 1 salarié ou plus, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, s’établit à 16,3 %, en hausse de 1,2 point par rapport au trimestre précédent. Sur un an, il gagne 1,3 point.
Afin de dresser un état des lieux des relations sociales en France, en lien avec les évolutions législatives et économiques de ces dernières années, la Dares a organisé le 9 décembre 2014 un colloque.
Au 3e trimestre 2014, pour les établissements de 1 salarié ou plus, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, s’établit à 15,0 %.
Ces déclarations permettaient de suivre les mouvements de main-d'œuvre générés par les recrutements et les départs des établissements.
L’enquête visait à analyser la relation entre les salariés et la direction au sein des entreprises (représentants, intensité du dialogue social …).