Conditions de travail et précarité dans l'emploi
- 8 juillet 2009
- Dares Analyses N°28.2
Les CDI craignant de perdre leur emploi cumulent de nombreux risques dans leur travail.
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Les CDI craignant de perdre leur emploi cumulent de nombreux risques dans leur travail.
Au 1er trimestre 2008, la croissance du PIB a été de +0,5 %, après +0,4 % au 4ème trimestre 2007.
La proportion de salariés à temps partiel est stable ce trimestre à 14,4 %.
Au cours du premier trimestre 1999, la durée hebdomadaire collective moyenne du travail diminue de 0,1 % et s’établit à 38,64 heures en fin de trimestre.
En 1997, les salariés du secteur privé et semi-public dans les établissements de 10 salariés et plus ont perçu, en moyenne, 13,6 % de leur rémunération sous forme de primes.
En mai 1997, les proportions de salariés augmentés sont équivalentes à celles d'Ivry. Le rythme mensuel d'augmentation des salaires reste stable pour les employés et s'accélère légèrement pour les ouvriers.
En juin 1997, les proportions de salariés augmentés sont inférieures à celles constatées au mois de mai. 10.4 % des ouvriers et 8,7 % des employés ont bénéficié d'une hausse de leur salaire de base (données CVS).
En octobre 1996, dans les petits établissements, le gain mensuel moyen brut est de 10 855 francs pour un travail à temps plein, soit 8,5 % de moins que dans les établissements de 10 salariés et plus. Une femme y gagne en moyenne 17 % de moins qu'un homme.
En juin 1996, les ouvriers ont été plus nombreux à recevoir une augmentation qu'en mai, tandis que la proportion d'employés augmentés diminue. Les augmentations accordées sont en moyenne plus faibles, mais celles de mai avaient été relativement élevées.
A partir du milieu des années 80, l'éventail des salaires français, qui n'avait cessé de se refermer depuis 1968, s'ouvre légèrement. Toutefois, dès le début des années 90, cet éventail se stabilise.