Quels risques psychosociaux chez les salariées de l’aide à domicile ?
- 1 octobre 2021
- Dares Analyses N°53
Cette étude propose d’identifier les risques psychosociaux des salariées des métiers de l’aide à domicile relativement aux autres salariées.
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Cette étude propose d’identifier les risques psychosociaux des salariées des métiers de l’aide à domicile relativement aux autres salariées.
Ce document décrit les méthodes retenues pour le calcul des pondérations du volet « individus » et du volet « employeurs » de l’enquête Conditions de travail et Risques psychosociaux 2016.
Les contraintes organisationnelles et relationnelles regroupent les caractéristiques du temps de travail, les contraintes de rythme de travail, l’autonomie et les marges d’initiative, le collectif de travail et les contacts avec le public.
En France, les ouvriers intérimaires, qui représentent la majorité des personnes en intérim et 8 % des ouvriers, sont très fortement exposés à des contraintes physiques dans leur travail.
En France métropolitaine, en 2012, plus d’une personne sur deux âgée de 18 à 64 ans a suivi au moins une formation dans l’année, que ce soit dans un but personnel ou professionnel.
En 2007, 57 % des personnes âgées de 50 à 64 ans sont actives, en emploi ou au chômage.
Renforcer le taux d'activité des plus de 50 ans représente un défi pour la France, qui enregistre l'âge de cessation d'activité le plus précoce d'Europe.
Grâce à la forte augmentation du nombre des jeunes quinquagénaires (50-54 ans) et à l’arrivée aux âges élèves de génération de femmes plus actives que dans le passé, le taux d’emploi des 50-59 ans augmente de 6 points entre 1990 et 2000.
Le nombre des entrées en préretraites diminue de 19 % en 1990, après une baisse de 22 % en 1989. 31 300 personnes de 55 à 59 ans sont entrées en préretraites en 1990 tandis qu'environ 54 700 salariés du même âge étaient licenciés et s'inscrivaient à l'ANPE.