Organismes de service à la personne : résultats de l’enquête flash Covid-19
- 23 novembre 2020
- Covid-19
Quatre organismes sur cinq étaient en arrêt ou connaissaient une baisse d'activité pendant le premier confinement.
11 résultats
Quatre organismes sur cinq étaient en arrêt ou connaissaient une baisse d'activité pendant le premier confinement.
Le premier rapport du conseil scientifique chargé de l’évaluation du Plan d’investissement dans les compétences (PIC) - installé le 4 Juillet 2018 -, vise à dresser un premier état des lieux de ce qu’est le PIC.
Une enquête rapide a été conduite par la Dares entre le 8 et le 25 avril afin de mesurer les conséquences de la crise sanitaire sur le déroulement des formations des demandeurs d’emploi. Cette étude en présente les principaux résultats.
En 2018, l’activité dans les services à la personne diminue légèrement (-0,4 % d’heures rémunérées par rapport à 2017).
7 fois plus de formations suivies par les salariés du privé en 2018 qu’en 2015.
À la fin du 2e trimestre 2019, le nombre de bénéficiaires d’emploi aidé en France métropolitaine s’élève à 1,38 million, en hausse de 65 000 par rapport au trimestre précédent.
La dépense pour l'emploi est estimée pour 1993 à 289 milliards de francs, soit une progression de 8 % en francs constants, la plus forte enregistrée depuis dix ans. Les dépense d'indemnisation du chômage en hausse de 5 % en représentent 43 %.
La dépense totale consacrée à la formation professionnelle par l'Etat, les collectivités territoriales, les entreprises et les ménages atteint 124 Milliards de Francs en 1992, progressant de 9 % en volume par rapport à 1991.
En 1993, 226 500 personnes sont entrées en stage dans le cadre des Actions d'Insertion et de Formation (AIF). Ce nombre, quoique en diminution de 15 % par rapport à celui de 1992, reste supérieur aux niveaux de 1991 et 1990.
La dépense pour l'emploi et la formation professionnelle est estimée en 1992 à 262 milliards de francs, soit une augmentation de 7,5 % en francs constants, la plus forte enregistrée depuis dix ans. Les dépenses d'indemnisation du chômage représentent près de 44 %.