Un meilleur emploi grâce aux réseaux de relations pour les immigrés ?
- 29 juin 2018
- Document d'études N°222
Il est plus difficile pour les immigrés que pour les natifs de trouver un emploi dans leur pays d’accueil.
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Il est plus difficile pour les immigrés que pour les natifs de trouver un emploi dans leur pays d’accueil.
À la fin du 1er trimestre 2018, le nombre de bénéficiaires d’emplois aidés en France métropolitaine s’élève à 1,21 million, en baisse de 98 000 par rapport au 4e trimestre 2017.
Après un 4e trimestre 2017 très dynamique, l’emploi intérimaire ralentit nettement au 1er trimestre 2018 (+0,5 % soit +4 500 intérimaires, après +4,9 % au trimestre précédent).
Les trajectoires salariales des individus rémunérés au voisinage du Smic constituent une question centrale pour la dynamique salariale en général et pour le pilotage du salaire minimum en particulier.
En 2009, 55 000 résidents des Zones urbaines sensibles (Zus) ont été embauchés en Contrat d’accompagnement dans l’emploi (CAE), en Contrat d’avenir (CAV) et en Contrat initiative emploi (CIE) après 41 000 en 2008.
À la fin du premier trimestre 2011, 598 400 salariés sont intérimaires, soit 5 900 de plus qu’au trimestre précédent (+1,0 %).
Ce processus de tertiarisation n’est pas le canal principal du ralentissement tendanciel de productivité observé lors des trente dernières années.
En 2005, dans les 79 zones franches urbaines (ZFU) de France métropolitaine, 13 500 embauches ont donné lieu à une exonération spécifique de cotisations sociales, soit une progression de 13 % par rapport à 2004.
La conjoncture de l’emploi est appréhendée à un rythme mensuel par cinq indicateurs publiés par la Dares (Premières Informations) et l’Insee (Informations Rapides).