Reconnaissance, insécurité et changements dans le travail
- 26 avril 2019
- Synthèses Stat/Éval' N°029
En 2016, 67,6 % des salariés déclarent que leur position professionnelle correspond bien à leur formation.
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En 2016, 67,6 % des salariés déclarent que leur position professionnelle correspond bien à leur formation.
En 2016, 41,9 % des salariés disent parfois ne pas pouvoir faire du bon travail, devoir parfois sacrifier la qualité.
En 2013, 2 % des établissements du secteur privé déclarent que plus de la moitié de leurs salariés sont exposés au travail de nuit, et 16,3 % que plus de la moitié de leurs salariés sont exposés à au moins un risque physique.
En 2016, 66,7 % des salariés déclarent être aidés par leurs supérieurs hiérarchiques s’ils ont du mal à faire un travail délicat ou compliqué.
L’enquête vise à mesurer l’insertion professionnelle à l’issue des contrats aidés, ainsi qu’à recueillir des informations sur le déroulement du contrat et l’opinion qu’en ont les bénéficiaires.
Près de 80 % des personnes ayant bénéficié d’un contrat aidé déclarent y avoir développé ou acquis des compétences.
En 2006, 27 % des hommes et 21 % des femmes en emploi fument quotidiennement des cigarettes, des cigares ou la pipe. Les fumeurs sont plus nombreux parmi les personnes exposées aux contraintes physiques ou aux risques psychosociaux au cours de leur carrière.
Ce numéro de Synthèse.Stat’ présente des indicateurs relatifs à la reconnaissance et l’évaluation du travail, aux conflits de valeurs, à l’insécurité de l’emploi et aux changements organisationnels.
L’enquête Sumer 2016-2017 visait à surveiller l’exposition des salariés aux risques professionnels.
Six mois après la fin de leur contrat aidé, les résidents des zones urbaines sensibles (Zus) sont moins souvent en emploi durable (CDI, CDD de plus de six mois, titulaire de la fonction publique ou travailleur indépendant) que les habitants des quartiers avoisinants.