Les contrats uniques d'insertion et les emplois d’avenir. Une forte baisse des recrutements en 2017
- 29 novembre 2018
- Dares Résultats N°054
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En 2007, 284 000 personnes ont accédé à un emploi aidé via le contrat d’accompagnement dans l’emploi (CAE), le contrat d’avenir, le contrat initiative emploi (CIE) ou le contrat insertion – revenu minimum d’activité (CI-RMA). Elles étaient 358 000 en 2006.
Atteignant 27 milliards d’euros en 2006, la dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage s’est accrue d’un milliard d’euros (+3,9 %) par rapport à 2005.
Créé en 2000 et relancé en 2006, le dispositif Adultes relais vise à améliorer, dans les territoires prioritaires de la politique de la ville, les relations entre les habitants de ces quartiers et les services publics.
Entre 1995 et 2005, le nombre de journées autorisées de chômage partiel a fortement diminué, ainsi que le nombre d’établissements et de salariés concernés.
L’insertion dans l’emploi durable des salariés sortis en 2006 d’un contrat aidé du Plan de cohésion sociale est globalement plus favorable pour ceux qui sont passés par un contrat du secteur marchand.
En 2006, 68 000 résidents des zones urbaines sensibles (ZUS) de France métropolitaine ont été recrutés en contrat d’accompagnement dans l’emploi (CAE), contrat d’avenir (CAV) ou contrat initiative emploi (CIE).
Les bénéficiaires de Contrat de retour à l'emploi (CRE) signés en juillet 1993 sont relativement bien informés sur les dispositifs existants, et plutôt autonomes dans leur rechercher d'emploi.
L'impact des mesures de la politique de l'emploi dans les quartiers en difficulté a été en 1992 avant tout lié à la nature des dispositifs.
Début 1994, 55 % des Français croyaient en l'efficacité d'un développement du travail à temps partiel pour réduire le chômage et 42 % estimaient qu'une réduction généralisée pouvait créer des emplois.