Les attitudes des Français à l'égard du chômage, de son indemnisation et des politiques d'emploi au début 1998
- 5 septembre 1998
- Dares Résultats N°39.2
Au début de 1998, les Français sont moins pessimistes face au chômage et à ses évolutions.
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Au début de 1998, les Français sont moins pessimistes face au chômage et à ses évolutions.
Depuis 1985, l’enquête CREDOC sur les « Conditions de vie et aspirations des Français » permet de suivre l’opinion des Français sur le chômage et les politiques de l’emploi.
En octobre 1995, un salarié d'un petit établissement, de un à dix salariés, gagne en moyenne 10 780 francs en rémunération brute, soit 2,5 % de plus qu'en octobre 1994 (2,8 % pour les ouvriers, 1,9 % pour les cadres).
En 1995, les salariés du secteur privé et semi-public ont perçu en moyenne 14,8 % de leur rémunération sous forme de primes. Les primes mensuelles représentent 6,8 % de la rémunération totale (6,7 % en 1994). La part des primes non mensuelles augmente. Elle est de 8 % en 1995.
Fin 1993, 15 000 entreprises employant 4,5 millions de salariés avaient un accord de participation. En 1994, six sur dix ont pu effectivement dégager des sommes au titre de l'exercice comptable 1993.