Les ruptures conventionnelles individuelles en 2020
- 30 juillet 2021
- Dares Résultats N°43
En 2020, leur nombre diminue pour la première fois depuis 2013 (-3,6 %), dans un contexte de crise sanitaire.
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En 2020, leur nombre diminue pour la première fois depuis 2013 (-3,6 %), dans un contexte de crise sanitaire.
En 2015, dans le secteur privé et les entreprises publiques, la rémunération mensuelle moyenne des salariés en équivalent temps plein (EQTP) s’élève à 3 000 euros en brut et à 2 251 euros nette de tous prélèvements sociaux.
En 2017, l’activité de négociation salariale de branche est un peu plus vigoureuse qu’en 2016, et le salaire mensuel de base (SMB) dans les entreprises de 10 salariés ou plus progresse de 1,4 % en glissement annuel, après +1,2 % en 2016.
En 1998, les salariés ne sont guère plus nombreux qu'en 1991 à considérer qu'ils sont exposés à des efforts physiques et à des risques au cours de leur travail. En revanche, il arrive beaucoup plus souvent qu'ils cumulent plusieurs de ces pénibilités.
En octobre 1996, dans les petits établissements, le gain mensuel moyen brut est de 10 855 francs pour un travail à temps plein, soit 8,5 % de moins que dans les établissements de 10 salariés et plus. Une femme y gagne en moyenne 17 % de moins qu'un homme.
En 1994, l'individualisation des salaires au sein des entreprises recule sensiblement, notamment la pratique d'augmentations totalement individualisées. Ce repli ne touche que les entreprises de moins de 200 salariés.
En 1992, 30 % des entreprises ont accordé des hausses individualisées contre 38 % en 1991. La diffusion de cette forme de rémunération marque un recul prononcé en 1992.
En 1990, comme en 1989, 36 % des entreprises ont accordé des hausses individualisées, le plus souvent associées à des hausses générales (23 %). Le recours à cette forme de rémunération, qui progressait depuis 1985, marque le pas en 1990.
En 1989, la pratique des augmentations individualisées continue de progresser. C'est dans les petites entreprises qu'elle se développe le plus. Celles-ci accordent à l'individualisation totale beaucoup plus de place que les firmes de taille plus importante.
En 1988, l'individualisation reste apparemment avantageuse pour les salariés : dans les entreprises où les hausses de salaire sont partiellement ou totalement individualisées, les salaires ont augmenté plus vite que dans celles n'ayant pratiqué que des hausses générales.