Le travail de nuit en 2012
- 21 août 2014
- Dares Analyses N°062
En 2012, 15,4 % des salariés (21,5 % des hommes et 9,3 % des femmes), soit 3,5 millions de personnes, travaillent la nuit, habituellement ou occasionnellement.
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En 2012, 15,4 % des salariés (21,5 % des hommes et 9,3 % des femmes), soit 3,5 millions de personnes, travaillent la nuit, habituellement ou occasionnellement.
Depuis 1971, les entreprises sont soumises à des obligations de financement de la formation professionnelle continue.
En 2012, environ 64 000 dossiers de candidatures à un titre professionnel délivré par un certificateur public ont été jugés recevables à la validation des acquis de l’expérience (VAE).
Les CDI craignant de perdre leur emploi cumulent de nombreux risques dans leur travail.
Si 37 % des salariés ont des horaires « normaux », près de deux salariés sur trois travaillent selon des horaires que l’on qualifie habituellement « d’atypiques ».
À métier et secteur d’activité comparable, les salariés immigrés, et plus particulièrement les étrangers, ont des conditions de travail spécifiques. Les immigrés sont davantage exposés à des postures « pénibles ou fatigantes à la longue ».
En 2004, 4 400 candidats se sont présentés à des épreuves de validation d’un titre professionnel du ministère chargé de l’emploi. 1 700 ont terminé leur parcours de validation avec l’obtention du titre complet.
Trois quarts des travailleurs de nuit, de minuit à cinq heures du matin, sont des hommes. Pourtant, depuis le début des années quatre-vingt dix, le travail de nuit des femmes a progressé plus rapidement que celui des hommes.
Le chiffre d’affaires des organismes exerçant l’activité de formation continue à titre principal continue de croître en 2002.
Né de la pratique des entreprises dans les années 1980, le bilan de compétences est devenu un droit suite à la loi du 31 décembre 1991 sur la formation professionnelle.