Les plans d'épargne d'entreprise en 1991
- 28 août 1993
- Dares Résultats N°364
Une entreprise sur quatre disposant d'un système légal de partage du profit, intéressement ou participation, a mis en place un plan d'épargne d'entreprise (P.E.E.).
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Une entreprise sur quatre disposant d'un système légal de partage du profit, intéressement ou participation, a mis en place un plan d'épargne d'entreprise (P.E.E.).
La durée hebdomadaire effective du travail reste stable par rapport au début du deuxième trimestre 1993 ; elle s'établit à 38,92 heures pour l'ensemble des salariés, à 38,85 heures pour les non-ouvriers et à 39,00 heures pour les ouvriers.
En 1992, les salariés du secteur privé et semi-public ont perçu en moyenne 14,5 % de leur rémunération sous forme de primes. Celles-ci ont été versées à cadence mensuelle à hauteur de 6,5 % et à périodicité différente à hauteur de 8,0 %.
En 1992, 30 % des entreprises ont accordé des hausses individualisées contre 38 % en 1991. La diffusion de cette forme de rémunération marque un recul prononcé en 1992.
En mai 1993, 13,3 % des ouvriers et 10, 9 % des employés ont perçu un relèvement de leur salaire de base. Ces chiffres rompent avec la tendance à la baisse enregistrée ces derniers mois.
Les augmentations accordées sont au même taux pour tout le personnel dans près de 45 % des cas. La proportion de salariés augmentés est plus sensible à la conjoncture que l'augmentation moyenne par salarié.
La durée hebdomadaire effective du travail est en baisse par rapport au début du premier trimestre 1993. Elle s'établit, en moyenne, à 38,92 heures pour l'ensemble des salariés, à 38,85 heures pour les non-ouvriers et à 38,98 heures (moins de 39 heures) pour les ouvriers.
En octobre 1992, le gain moyen mensuel brut d'un salarié, primes mensuelles comprises, s'élève à 10 816 F. En moyenne, un ouvrier gagne 8 134 F, un employé 8 728 F, un agent de maîtrise, un technicien, un dessinateur 11 974 F et un cadre 21 812 F.
Dans leurs négociations visant à revaloriser les bas salaires, les branches conventionnelles tendent en général à instaurer des salaires minima garantis plutôt qu'à refondre leur classification salariale.
La durée hebdomadaire effective du travail est en baisse chez les ouvriers par rapport au début du premier trimestre 1993 ; elle s'établit à 38,91 heures pour l'ensemble des salariés, reste stable à 38,85 heures pour les non-ouvriers et descend à 38,98 heures pour les ouvriers.