Mouvements de main-d'œuvre et recours au chômage partiel entre 2009 et 2011
- 30 janvier 2014
- Dares Analyses N°008
9 résultats
Au 1er trimestre 2013, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, augmente de 0,2 point dans les établissements de 10 salariés ou plus. Il se situe à 13,0 %, soit 0,6 point de plus qu’au 1er trimestre de l’année précédente.
Au 4e trimestre 2012, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, diminue de 0,2 point dans les établissements de 10 salariés ou plus. Il se situe à 12,8 %, soit 0,3 point de plus qu’au 4e trimestre de l’année précédente.
Au 3e trimestre 2012, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, augmente de 0,3 point dans les établissements de 10 salariés ou plus.
Au 1er trimestre 2012, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, diminue de 0,3 point dans les établissements de 10 salariés ou plus. Il se situe à 12,5 %, au même niveau que le 1er trimestre de l’année précédente.
En 2010, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, a augmenté très sensiblement (47,8 %, soit +2,2 points), après s’être modestement infléchi en 2008 (-1,2 point) et modérément accru en 2009 (+0,3 point).
Dans un contexte de reprise des créations d’emploi salarié au cours du premier trimestre 2011, le taux d’entrée dans les établissements de 10 salariés ou plus poursuit sa progression entamée au premier trimestre 2009 pour atteindre 11,9 %, soit +0,3 point par rapport au trimestre précédent.
Dans un contexte général de forte baisse de l’emploi salarié, la rotation de la main-d’œuvre, hors intérim, s’est accrue modérément en 2009, après s’être sensiblement infléchie en 2008.
Au deuxième trimestre 2010, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, augmente assez sensiblement à 11,2 %, après le léger infléchissement du trimestre précédent.