Retour à l’emploi
- 17 avril 2015
L'enquête visait à mesurer l’effet de l’accompagnement renforcé, délivré dans le cadre du contrat de sécurisation professionnelle (CSP), sur le retour à l’emploi.
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L'enquête visait à mesurer l’effet de l’accompagnement renforcé, délivré dans le cadre du contrat de sécurisation professionnelle (CSP), sur le retour à l’emploi.
En 2013, 60 000 résidents des zones urbaines sensibles (Zus) de France métropolitaine ont été recrutés ou renouvelés en contrat unique d’insertion (CUI) ou en emploi d’avenir. Ils représentent 12,2 % des personnes ayant signé un contrat aidé, comme en 2012.
Le prix Nobel d'économie est attribué à David Card, spécialiste de l'économie expérimentale, pour ses contributions empiriques à l'économie du travail. Retrouvez son article dédié à l’évaluation des politiques actives du marché du travail, paru dans la revue Travail et Emploi.
Les entreprises de 1 à 9 salariés regroupent 20 % de l’emploi salarié concurrentiel. Fin 2013, elles emploient en moyenne 2,9 salariés, mais plus d’un tiers ne comptent qu’un seul salarié.
538 000 contrats aidés ont débuté en 2013 dont 345 000 nouvelles embauches et 193 000 reconductions de contrats.
Entre novembre 2012 et décembre 2013, 91 000 emplois d’avenir ont été prescrits, quasi exclusivement par les missions locales.
Au 2e trimestre 2014, l’activité économique a stagné pour le deuxième trimestre consécutif. Dans le même temps, l’emploi salarié marchand a légèrement rebondi (+8 300 postes après -20 100 postes au 1er trimestre 2014).
Six mois après la fin de leur contrat, 36 % des personnes sorties d’un contrat unique d’insertion du secteur non marchand (CUI-CAE) et 66 % des personnes sorties d’un contrat unique d’insertion du secteur marchand (CUI-CIE), en 2012, sont en emploi.
Après un passage en contrat aidé, la plupart des anciens bénéficiaires estiment que leur situation financière reste difficile : 60 % déclarent que « c’est juste, il faut faire attention » et seuls 24 % disent ne pas rencontrer de difficultés financières.
Fin 2011, 31 % des bénéficiaires du revenu de solidarité active (RSA) et 14 % des allocataires de l’allocation de solidarité spécifique (ASS) travaillaient, tout en percevant un minimum social.