L'apprentissage en 2022
- 30 janvier 2024
- Dares Résultats N° 10
829 600 contrats d’apprentissage débutent en 2022, soit 13 % de plus qu’en 2021. Bien qu’elle soit marquée, cette hausse est moins forte que les progressions des années 2020 et 2021.
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829 600 contrats d’apprentissage débutent en 2022, soit 13 % de plus qu’en 2021. Bien qu’elle soit marquée, cette hausse est moins forte que les progressions des années 2020 et 2021.
9 jeunes sortants de la voie professionnelle sur 10 sont exposés à au moins un risque physique ou chimique sur leur poste de travail, et 6 sur 10 à trois de ces risques ou plus, en 2017.
Comment a évolué la proportion de personnes salariées qui portent des charges lourdes depuis les années 1980 ? Qui utilise l’informatique et comment cela a-t-il évolué ? Quelles sont les personnes qui doivent cacher leurs émotions dans leur travail ?
Les métiers les plus concernés sont les caissiers, les agents d’entretien, les ouvriers du bâtiment, des industries de process et de la manutention.
Au 3e trimestre 2022, la productivité du travail par tête des branches marchandes non-agricoles se situe 6,4 % en deçà de sa tendance prévalant avant la crise sanitaire liée au Covid-19.
En janvier 2022, 6 mois après leur sortie d’études en 2021, 65 % des apprentis de niveau CAP à BTS sont en emploi salarié dans le secteur privé. Retrouvez toutes les donnée de la voie professionnelle par établissement et formation.
En 2019, sur le champ des salariés affiliés au régime général ou à la mutualité sociale agricole, ainsi que des agents des fonctions publiques territoriale et hospitalière, 783 600 accidents du travail avec au moins un jour d’arrêt sont comptabilisés en France.
L’enquête visait à décrire les conséquences concrètes de la crise sanitaire sur les conditions de travail des actifs occupés et le vécu des individus sans emploi.
Après une forte hausse en 2016 (+6,4 %), l'effort de formation reste stable en 2017 (-0,1 %). Rapportée au PIB, elle reste d’un ordre de grandeur similaire (1,1 % en 2017, contre 1,2 % en 2016).
Entre 2013 et 2016, 23 % des salariés qui ont changé d’emploi ou de profession ont fortement amélioré leurs conditions de travail, contre 13 % des salariés stables.