BFM Business : la France vit-elle une "grande démission" ?
- 23 août 2022
Michaël Orand répondait aux questions de Laure Closier et Christophe Jakubyszyn, dans Good Morning Business, sur BFM Business, ce mardi 23 août.
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Michaël Orand répondait aux questions de Laure Closier et Christophe Jakubyszyn, dans Good Morning Business, sur BFM Business, ce mardi 23 août.
Au 1er trimestre 2013, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, augmente de 0,2 point dans les établissements de 10 salariés ou plus. Il se situe à 13,0 %, soit 0,6 point de plus qu’au 1er trimestre de l’année précédente.
Dans les établissements de 1 salarié ou plus de France métropolitaine, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, est de 50,2 % en 2011.
En 2010, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, a augmenté très sensiblement (47,8 %, soit +2,2 points), après s’être modestement infléchi en 2008 (-1,2 point) et modérément accru en 2009 (+0,3 point).
Après une nette remontée au second semestre 2006, la rotation de la main-d’œuvre augmente légèrement dans les établissements d’au moins dix salariés au premier semestre 2007.
Au troisième trimestre 2006, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim augmente très légèrement dans les établissements d’au moins dix salariés.
Signe d’une meilleure conjoncture, au troisième trimestre 2005, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim progresse à nouveau très légèrement pour le deuxième trimestre consécutif.
Au deuxième trimestre 2005, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim repart à la hausse dans les établissements de plus de dix salariés.
Au quatrième trimestre 2004, la rotation de la main-d’œuvre progresse à nouveau dans les établissements d’au moins 10 salariés.
Pour faire face aux creux et aux pics d'activité, les employeurs recourent principalement aux heures supplémentaires, aux CDD et à l'intérim.