L'insertion par l'activité économique en 2013
- 29 juin 2015
- Dares Analyses N°046
En 2013, 127 600 salariés en insertion ont travaillé dans une structure de l’insertion par l’activité économique (IAE), en moyenne chaque mois.
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En 2013, 127 600 salariés en insertion ont travaillé dans une structure de l’insertion par l’activité économique (IAE), en moyenne chaque mois.
44 % des personnes embauchées dans les structures de l’insertion par l’activité économique (SIAE) ont trouvé leur emploi par leurs propres moyens ou par le bouche à oreille.
Avec la contraction de l’activité économique, la dégradation de la situation du marché du travail entamée au 2nd semestre 2011 s’est poursuivie en 2012 et 51 000 emplois ont été détruits sur l’année en France métropolitaine.
Avec 576 100 intérimaires en équivalent-emplois à temps plein en 2011, le volume de travail temporaire a progressé de 9,3 % par rapport à 2010.
En 2009, le volume de travail temporaire diminue substantiellement par rapport à 2008 : on dénombre, sur l’ensemble de l’année, 447 300 équivalents-emplois à temps plein, soit un recul de -26,0 % en un an.
En 2008, le volume de travail temporaire se replie nettement par rapport à l’année précédente, pour la première fois depuis 2003.
En 2006, 253 000 salariés en insertion ont été embauchés ou mis à disposition par une des 5 300 structures d’insertion par l’activité économique.
Les anciens salariés des EI se réinsèrent plus difficilement que ceux des AI ou ETTI, ils sont majoritairement au chômage au sortir de la structure.
Les contrats à durée déterminée (CDD) et l'intérim sont particulièrement utilisés par les établissements qui créent des emplois et embauchent.
En 1996, le suivi d’une cohorte de chômeurs dans huit zones d’emploi montre que si l’âge, la qualification et le sexe demeurent fortement discriminants dans le processus d’insertion ou de réinsertion professionnelle, l’importance de ces facteurs varie selon le marché local de l’emploi.