Comment les employeurs surmontent-ils leurs difficultés de recrutement ?
- 4 juillet 2019
- Dares Analyses N°032
Les employeurs considèrent que 17 % des recrutements réalisés entre septembre et novembre 2015 se sont avérés difficiles.
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Les employeurs considèrent que 17 % des recrutements réalisés entre septembre et novembre 2015 se sont avérés difficiles.
Fin 2015, 17 % des recrutements sont jugés difficiles a posteriori par les recruteurs, notamment en raison du manque de candidatures ou de l’inadéquation du profil des candidats.
La Dares a apporté son expertise à la publication Emploi, chômage, revenus du travail (Insee Références, édition 2019), un ensemble d’analyses et d’indicateurs portant sur le marché du travail.
20 % des établissements qui recrutent en contrat de plus d’un mois déclarent également avoir recours à des contrats plus courts – CDD d’un mois ou moins.
Entre 1995 et 2015, environ 11 % des salariés étaient chaque année rémunérés au voisinage du salaire minimum. Les salariés les plus jeunes, ainsi que les femmes, sont plus souvent concernés.
Les positions des femmes et des hommes sur le marché du travail restent assez différenciées et les études montrent la persistance d’inégalités en termes d’emplois et de salaires à la défaveur des femmes, particulièrement les moins qualifiées et les mères de plusieurs enfants.
En 2018, 437 700 ruptures conventionnelles individuelles ont été homologuées, soit une augmentation de 3,9 % par rapport à 2017.
Les entreprises d’insertion se doivent de concilier deux logiques distinctes : porter un projet social, qui engendre des contraintes et des surcoûts, et assurer leur viabilité économique.
Les femmes ont quatre fois plus de chances de connaître une insertion en CDI à temps partiel à l’issue de l’IAE.
Fin 2017, le secteur de l’insertion par l’activité économique (IAE) comptait un peu plus de 136 000 salariés en insertion, un nombre en hausse de 3 % par rapport à 2016.