Pratiques de recrutement et sélectivité sur le marché du travail
- Le 2 février 2012
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Les allégements de cotisations sociales patronales sur les bas salaires, instaurés en 1993 et progressivement étendus depuis, constituent aujourd’hui une composante majeure de la politique en faveur de l’emploi en France.
L’enquête visait à analyser la relation entre les salariés et la direction au sein des entreprises (représentants, intensité du dialogue social…).
Depuis 1987, la Dares établit un compte national de la formation professionnelle continue et de l’apprentissage. Ce compte recense les dépenses pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage par financeurs et par publics bénéficiaires.
En 2009, dans le secteur privé et semi-public, la rémunération brute mensuelle moyenne des salariés en équivalent-temps plein était de 2 708 euros (+1,0 % par rapport à 2008) et le salaire moyen net de tous prélèvements sociaux de 2 042 euros (+1,3 %).
Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, 84,4 % des salariés travaillent à temps complet au troisième trimestre 2011.
Les entreprises de 1 à 9 salariés (très petites entreprises ou TPE) regroupent 20 % de l’emploi salarié concurrentiel, hors agriculture et hors intérimaires et stagiaires.
Dans les entreprises de dix salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, l’indice du salaire mensuel de base (SMB) augmente de 0,4 % au troisième trimestre 2011 et de 2,3 % sur un an.
En 2009, dans un contexte de grave crise économique, la dépense nationale pour la formation professionnelle et l’apprentissage s’est élevée à 31,3 milliards d’euros, soit 4,1 % de plus qu’en 2008.
L’activité économique en France a stagné au 2ème trimestre, après avoir augmenté de 0,9 % en variation trimestrielle au trimestre précédent.