Les demandeurs d'emploi
- 27 mars 2024
5 410 800 demandeurs d'emploi inscrits à France Travail (ex-Pôle emploi) en catégories A, B, C à fin février 2024, en France (soit -0,0 %).
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5 410 800 demandeurs d'emploi inscrits à France Travail (ex-Pôle emploi) en catégories A, B, C à fin février 2024, en France (soit -0,0 %).
Au 4e trimestre 2023, 67 000 salariés seraient en activité partielle en moyenne chaque mois, après 51 000 au 3e trimestre 2023, soit une hausse de 33 % (non corrigée des variations saisonnières).
Cette note présente des résultats exploratoires autour des dispositifs de préretraite tels qu’ils sont déclarés dans l’enquête Emploi.
Le nombre de salariés concernés augmente progressivement jusqu’en avril 2021, où il atteint 271 000, mais représente alors une part marginale de l’activité partielle (10 %).
En France, dans les établissements de plus de 10 salariés du secteur privé non agricole, les conflits du travail prennent différentes formes, dont la grève est une figure plutôt rare.
En moyenne entre 2018 et 2021, à l’issue d’un Plan de sauvegarde de l’emploi (PSE), 63 % des salariés concernés sont licenciés et 27 % optent pour un départ volontaire, tandis que les salariés restants sont reclassés en interne au sein de l’entreprise ou de son groupe sans rupture de contrat.
Au 3e trimestre 2023, le nombre de plans de sauvegarde de l’emploi (PSE) validés et/ou homologués reste stable à 112 procédures. Celles-ci avalisent 9 000 ruptures de contrats, un nombre en baisse de 23 % sur le trimestre.
Au 3e trimestre 2023, 240 500 licenciements ont lieu en France métropolitaine sur le champ privé hors agriculture, intérim et particuliers employeurs (−1,8 % par rapport au trimestre précédent), dont 20 300 licenciements pour motif économique (−0,1 %) et 220 200 licenciements pour un motif autre qu’économique (−2,0 %).
Au 3e trimestre 2023, 130 100 ruptures conventionnelles ont lieu en France métropolitaine sur le champ privé hors agriculture et particuliers employeurs (+1,9 % par rapport au trimestre précédent).
Ce quatrième rapport du comité scientifique de l’évaluation du PIC dresse un bilan à l’issue de cinq années de déploiement et complète les constats établis par les éditions précédentes.