La syndicalisation
- 21 décembre 2021
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En 2019, 10,3 % des salariés déclarent adhérer à un syndicat, 11,0 % des hommes et 9,5 % des femmes, en France (hors Mayotte).
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En 2019, 10,3 % des salariés déclarent adhérer à un syndicat, 11,0 % des hommes et 9,5 % des femmes, en France (hors Mayotte).
Fin 2020, le secteur de l’insertion par l’activité économique (IAE) compte 135 400 salariés. Les nouvelles signatures de contrat baissent fortement sur l’année (-13 %) en raison de la crise sanitaire.
Parmi les apprentis de niveau CAP à BTS en dernière année d’un cycle d’études professionnelles en 2019-2020, 38 % sont toujours en formation l’année scolaire suivante. Cette proportion est en hausse de 4 points par rapport à la génération précédente inscrite en 2018-2019.
Avec la crise, le nombre d’accords de performance collective (APC) augmente nettement. Cette hausse repose sur les unités (entreprises, groupes,...) aguerries au dialogue social. Les accords s’adaptent à l’urgence de la crise sanitaire et se démarquent de ceux conclus auparavant.
Une personne en recherche d’emploi sur 10 inscrites en formation professionnelle en 2019 l’a abandonnée avant son terme.
Les métiers qui emploient le plus de jeunes sortant de leurs études initiales sont très différents selon le niveau de diplôme.
En 2019, 2,5 % des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé non agricole (représentant 25 % des salariés) ont connu un ou plusieurs arrêts collectifs de travail.
Cet article analyse comment la révolution de la e-logistique a conduit à l’extension des chaînes d’approvisionnement, à l’émergence de la logistique du dernier kilomètre et à un glissement du pouvoir vers un modèle logistique de vente en direct au consommateur.
Grâce à la comparaison entre deux études de cas situées en Italie et en France dans le secteur de la logistique, cet article étudie les effets de la précarisation de l’emploi sur les mobilisations collectives et les formes actuelles de résistance au travail.
Paris School of Economics (PSE) observe empiriquement comment la discrimination se concentre sur certains salariés qui sont en position d’exercer un contrepouvoir légal au sein des entreprises, et tout particulièrement comment elle s’exerce à l’encontre des délégués syndicaux.