Les mouvements de main d'œuvre au 1er trimestre 2005
- 30 janvier 2006
- Dares Indicateurs N°05.1
Au premier trimestre 2005, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim fléchit dans les trois grands secteurs d’activité.
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Au premier trimestre 2005, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim fléchit dans les trois grands secteurs d’activité.
La construction d’un véritable droit à la mobilité professionnelle attaché à l’individu reste aujourd’hui embryonnaire.
Participation, intéressement, plan d’épargne entreprise, fin 2003, plus de huit millions de salariés ont accès à au moins un dispositif d’épargne salariale.
Entre juillet 2002 et décembre 2004, un peu plus de 200 000 jeunes ont été embauchés dans le cadre du dispositif « Soutien à l’emploi des jeunes en entreprise ».
Au quatrième trimestre 2004, la rotation de la main-d’œuvre progresse à nouveau dans les établissements d’au moins 10 salariés.
En 2002, année de ralentissement conjoncturel, le turnover diminue dans les établissements de 10 salariés ou plus.
Au troisième trimestre 2004, la rotation de la main-d’œuvre est en baisse dans les établissements d’au moins 10 salariés, sous l’effet conjugué de la baisse des entrées et des sorties.
Au deuxième trimestre 2004, la rotation de la main-d’œuvre, hors intérim, continue à augmenter dans les établissements d’au moins dix salariés.
En 2003, au creux du cycle conjoncturel, le turnover diminue dans les établissements de 10 salariés ou plus sous l’effet conjugué d’une baisse des embauches et des sorties d’emploi.
En 2002, l’effort de la nation en matière de formation professionnelle et d’apprentissage s’amenuise encore : avec 1,43 % de la richesse nationale, il retrouve un niveau proche de celui de 1988.