Les relations de travail dans un contexte de réformes institutionnelles
- Le 4 décembre 2017
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Au 2e trimestre 2017, l’indicateur de tension sur le marché du travail, qui rapporte les offres d’emploi collectées par Pôle emploi aux entrées à Pôle emploi en catégories A, B, C, est en hausse (+4 %).
Cet ensemble de données décrit les demandes et les offres d’emploi et permet de produire un indicateur de tension par famille professionnelle.
En 2015, 54,9 % des salariés du secteur marchand non agricole, soit 8,6 millions de salariés, ont eu accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou d’épargne salariale.
En 2016, au-delà de 55 ans, les salariés seniors travaillent plus à temps partiel que les plus jeunes. Une petite partie de ce temps partiel recouvre des situations de cumul emploi-retraite.
En 2016, le nombre de personnes en emploi s’est accru de 255 000 en France (hors Mayotte). 205 000 emplois salariés, dont 82 000 dans l’intérim, ont été créés en net dans les secteurs marchands non agricoles, contre un maximum de 108 000 pour les années 2008 à 2015.
En 2014, dans un contexte de croissance économique modérée, la dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage s’élève à 31,6 milliards d’euros.
Au 1er trimestre 2017, l’indicateur de tension sur le marché du travail, qui rapporte les offres d’emploi collectées par Pôle emploi aux entrées à Pôle emploi en catégories A, B, C, continue d’augmenter (+5 % contre +9 % au 4e trimestre 2016).
En 2014, les demandeurs d’emploi et les dispensés de recherche d’emploi âgés de 50 ans ou plus percevaient plus souvent une allocation chômage que les plus jeunes, essentiellement parce qu’ils étaient plus souvent indemnisables par l’allocation de solidarité spécifique (ASS).
Le nombre de demandes d’autorisation de licenciements et de ruptures conventionnelles des contrats de salariés protégés dans le cadre de leurs fonctions de représentation du personnel s’élève à près de 20 000 en 2014.