La pénibilité au travail dans les professions de l’économie verte
- 4 juillet 2023
- Revue Travail et Emploi
Les professions relevant de l'économie verte sont aujourd’hui associées à de plus fortes expositions aux facteurs de pénibilité que les autres.
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Les professions relevant de l'économie verte sont aujourd’hui associées à de plus fortes expositions aux facteurs de pénibilité que les autres.
L’emploi intérimaire recule au 1er trimestre 2023 (-2,2 %, soit -18 100 intérimaires), après une hausse modérée au trimestre précédent (+0,2 %, soit +1 500 intérimaires au 4e trimestre 2022). Sur un an, il est également en baisse de 2,2 %.
Les expositions aux gaz d’échappement diesel restent depuis 2003 celles qui touchent le plus grand nombre de salariés. Les expositions à la silice cristalline et à l’amiante, parmi les plus dangereuses, sont toujours présentes. Le formaldéhyde est quant à lui utilisé dans de nombreux secteurs.
En moyenne en 2017, 11 % des salariés, soit 2,7 millions de personnes, sont exposés à au moins un produit chimique cancérogène.
L’enquête visait à décrire les conséquences concrètes de la crise sanitaire sur le vécu du travail pendant la crise sanitaire Covid-19 (2022).
En janvier 2021, parmi les personnes ayant travaillé au moins une semaine depuis le début de la pandémie en mars 2020, 96 % ont conservé leur emploi : 93 % continuent de travailler tandis que 3 % ne travaillent pas du tout et sont en « activité partielle ».
En France, en 2019, 37 % des salariés ne se sentent pas capables de tenir dans leur travail jusqu’à la retraite. L’exposition à des risques professionnels – physiques ou psychosociaux –, tout comme un état de santé altéré, vont de pair avec un sentiment accru d'insoutenabillité du travail.
L’emploi intérimaire continue d’augmenter au 4e trimestre 2022 (+1,1 %, soit +8 600 intérimaires), après le rebond du trimestre précédent (+1,5 %, soit +11 700 intérimaires au 3e trimestre 2022) et dépasse de 4,7 % son niveau de fin décembre 2019.
Quand un établissement du secteur privé non agricole est en situation de sous-traitance pour un donneur d’ordres, ses salariés sont davantage exposés à certains risques physiques et organisationnels.
Ce sont plus souvent les établissements de taille moyenne (20 à 199 salariés) qui sont preneurs d'ordres.