Horaires atypiques et contraintes dans le travail
- 25 mai 2009
- Dares Analyses N° 22.2
Si 37 % des salariés ont des horaires « normaux », près de deux salariés sur trois travaillent selon des horaires que l’on qualifie habituellement « d’atypiques ».
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Si 37 % des salariés ont des horaires « normaux », près de deux salariés sur trois travaillent selon des horaires que l’on qualifie habituellement « d’atypiques ».
Au 4ème trimestre 2008, l’activité en France a fortement reculé (-1,1 %), après une légère augmentation au 3e trimestre (+0,1 %). Cette forte contraction de l’activité s’est accompagnée d’une dégradation accrue de la situation du marché du travail.
La plupart des demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi sont tenus de faire des actes positifs de recherche d’emploi : certains sont sans emploi, d’autres travaillent.
Fin 2007, environ 383 000 personnes bénéficiaient d’une dispense de recherche d’emploi (DRE) tout en restant indemnisées par le régime d’assurance chômage ou le régime de solidarité, contre 410 000 fin 2006.
Dans les entreprises ayant une durée collective du travail de 35 heures, le nombre moyen d’heures supplémentaires déclarées par salarié à temps complet était de 5,2 au 4ème trimestre 2007.
Entre janvier 2005, date de création du dispositif, et décembre 2008, 198 Maisons de l’emploi ont été conventionnées en France métropolitaine.
À partir de février 2009, les données sur les demandeurs d’emploi sont présentées selon de nouveaux regroupements statistiques (catégories A, B, C, D, E).
Depuis 1995, la durée des études a cessé de s’allonger et la proportion de jeunes présents sur le marché du travail a peu varié.
Fin janvier 2009, 2 204 500 demandeurs d’emploi sont inscrits en catégorie 1.
À métier et secteur d’activité comparable, les salariés immigrés, et plus particulièrement les étrangers, ont des conditions de travail spécifiques. Les immigrés sont davantage exposés à des postures « pénibles ou fatigantes à la longue ».