La régionalisation des dépenses de formation des entreprises au titre du plan de formation
- 26 juillet 2013
- Document d'études N°176
Le comportement des entreprises en matière de plan de formation est relativement peu connu au niveau régional.
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Le comportement des entreprises en matière de plan de formation est relativement peu connu au niveau régional.
Si 85 % d’entre eux ont déjà travaillé, même de façon occasionnelle, leur durée cumulée d’emploi entre la fin de leur scolarité et l’entrée en contrat n’a le plus souvent pas dépassé un an.
Cette publication dresse un portrait statistique des métiers sur la période 1982-2011 sous différentes dimensions : dynamique de l’emploi, caractéristiques des personnes en emploi, qualité de l’emploi, caractéristiques des employeurs, mobilité, marché du travail.
En 2010, dans un contexte où l’économie française a connu une croissance fragile, la dépense nationale pour la formation professionnelle et l’apprentissage s’est élevée à 31,5 milliards d’euros. Rapporté au PIB, l’effort de formation recule de 0,1 point (1,6 %, après 1,7 % en 2009).
En 2011, 4 millions d’immigrés âgés de 15 à 64 ans résident en France métropolitaine, représentant 10 % de la population en âge de travailler. 30 % d’entre eux sont nés dans un pays de l’Union européenne (UE), 31 % au Maghreb, 15 % en Afrique subsaharienne, et 24 % dans un pays européen hors UE ou sur un autre continent que l’Afrique.
Les fils et filles d’immigrés sont souvent d’origine ouvrière : selon l’enquête Trajectoires et Origines de 2008, deux descendants d’immigrés sur trois avaient un père ouvrier lorsqu’ils avaient 15 ans contre 39 % seulement des personnes sans ascendance directe immigrée (« population majoritaire »).
Progression et féminisation des emplois les plus qualifiés ; dynamisme des métiers d’aide et de soins aux personnes.
En 2011, 173 000 nouveaux contrats de professionnalisation ont été comptabilisés, soit une hausse de 17 % en un an.
Depuis 1987, la Dares établit un compte national de la formation professionnelle continue et de l’apprentissage. Ce compte recense les dépenses pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage par financeurs et par publics bénéficiaires.
Les entreprises de 1 à 9 salariés (très petites entreprises ou TPE) regroupent 20 % de l’emploi salarié concurrentiel, hors agriculture et hors intérimaires et stagiaires.