La régionalisation des dépenses de formation des entreprises au titre du plan de formation
- 26 juillet 2013
- Document d'études N°176
Le comportement des entreprises en matière de plan de formation est relativement peu connu au niveau régional.
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Le comportement des entreprises en matière de plan de formation est relativement peu connu au niveau régional.
Le nombre de ruptures conventionnelles s’est élevé à 320 000 en 2012, soit 11 % de plus qu’en 2011.
Fin 2008 et fin 2009, la Dares a mené une enquête auprès de demandeurs d’emploi entrés ou non dans l’un des quatre contrats aidés issus de la loi de cohésion sociale (CIE, CI-RMA, CAE, CAV) et leur a, à cette occasion, demandé ce qu’ils pensaient de ces dispositifs.
Si 85 % d’entre eux ont déjà travaillé, même de façon occasionnelle, leur durée cumulée d’emploi entre la fin de leur scolarité et l’entrée en contrat n’a le plus souvent pas dépassé un an.
En 2011, en France métropolitaine, 52 000 résidents des zones urbaines sensibles (Zus) ont été embauchés en contrat unique d’insertion (CUI), représentant 12,7 % du total des entrants en CUI (+2 points par rapport à 2010).
En 2011, 444 000 contrats uniques d’insertion ont été signés, dont 391 000 dans le secteur non marchand et 53 000 dans le secteur marchand. 285 000 sont des nouvelles embauches et 159 000 sont des reconductions de contrats précédemment conclus.
En 2011, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi et tenus de faire des actes positifs de recherche d’emploi (catégories A, B et C) a augmenté de 223 000.
Six demandeurs d’emploi sur dix déclarent être entrés en contrat aidé principalement parce qu’ils ne voulaient pas « rester sans rien faire », voulaient « améliorer leur situation financière » ou n’avaient pas d’autres propositions d’embauche.
Entre 2008 et mi-2011, 41 000 jeunes ont signé un contrat d’autonomie dans les trente-cinq départements où le dispositif a été déployé.