Les demandeurs d'emploi
- 27 mars 2024
5 410 800 demandeurs d'emploi inscrits à France Travail (ex-Pôle emploi) en catégories A, B, C à fin février 2024, en France (soit -0,0 %).
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5 410 800 demandeurs d'emploi inscrits à France Travail (ex-Pôle emploi) en catégories A, B, C à fin février 2024, en France (soit -0,0 %).
Cette note présente des résultats exploratoires autour des dispositifs de préretraite tels qu’ils sont déclarés dans l’enquête Emploi.
Aujourd'hui, beaucoup d'offres d'emploi sont publiées en ligne, et parfois sur différents sites internet. Avec Jocas, la Dares utilise ces millions d'offres pour contribuer à améliorer la compréhension du marché du travail. Yannis Bouachera, data scientist à la Dares, nous explique.
Consultez toutes les données de suivi des dispositifs consacrés à l’emploi, à la formation professionnelle et à l’accompagnement des demandeurs d’emploi.
La baisse est plus marquée pour les jeunes (-40 %), même si ceux-ci restent, en 2022, les principaux bénéficiaires de ces dispositifs.
Six mois après être sortis d’un parcours d’insertion par l’activité économique (IAE) en 2021, près de la moitié des bénéficiaires sont en emploi.
En moyenne entre 2018 et 2021, à l’issue d’un Plan de sauvegarde de l’emploi (PSE), 63 % des salariés concernés sont licenciés et 27 % optent pour un départ volontaire, tandis que les salariés restants sont reclassés en interne au sein de l’entreprise ou de son groupe sans rupture de contrat.
Au 3e trimestre 2023, le nombre de plans de sauvegarde de l’emploi (PSE) validés et/ou homologués reste stable à 112 procédures. Celles-ci avalisent 9 000 ruptures de contrats, un nombre en baisse de 23 % sur le trimestre.
S’appuyant sur un matériau recueilli dans le cadre d’une étude commanditée par la Dares, cet article s'intéresse aux points communs et aux divergences entre l'expérimentation territoires zéro chômeur de longue durée et les dispositifs de l'insertion par l'activité économique.
Au 3e trimestre 2023, 240 500 licenciements ont lieu en France métropolitaine sur le champ privé hors agriculture, intérim et particuliers employeurs (−1,8 % par rapport au trimestre précédent), dont 20 300 licenciements pour motif économique (−0,1 %) et 220 200 licenciements pour un motif autre qu’économique (−2,0 %).