Les mouvements de main-d’œuvre des salariés du privé
- 11 juillet 2023
6 504 300 embauches, 550 100 démissions, 262 600 licenciements et 297 600 fins de période d’essai, au 1er trimestre 2023 en France métropolitaine.
190 résultats
6 504 300 embauches, 550 100 démissions, 262 600 licenciements et 297 600 fins de période d’essai, au 1er trimestre 2023 en France métropolitaine.
L’usage des CDD de moins d’un mois dépend de la période de l’année.
Au 1er trimestre 2023, on compte 496 600 démissions de CDI en France métropolitaine (secteur privé hors agriculture, intérim et particuliers employeurs), soit +3,7 % sur un trimestre. Il y a 550 100 démissions (+3,2 %) en tenant compte des ruptures anticipées autorisées d’un CDD.
Au 1er trimestre 2023, 262 600 licenciements ont lieu en France métropolitaine sur le champ privé hors agriculture, intérim et particuliers employeurs (+0,6 % par rapport au trimestre précédent), dont 20 900 licenciements pour motif économique (−5,5 %) et 241 700 licenciements pour un motif autre qu’économique (+1,1 %).
Au 1er trimestre 2023, 128 500 ruptures conventionnelles ont lieu en France métropolitaine sur le champ privé hors agriculture et particuliers employeurs (+0,2 % par rapport au trimestre précédent).
Au 1er trimestre 2023, 297 600 fins de période d’essai ont lieu en France métropolitaine sur le champ privé hors agriculture, intérim et particuliers employeurs (−0,3 % par rapport au trimestre précédent).
Au 1er trimestre 2023, en France métropolitaine, 6 504 300 contrats de travail sont signés dans le secteur privé (hors agriculture, intérim et particuliers employeurs), soit 0,7 % de plus qu’au trimestre précédent (après −0,2 % au 4e trimestre 2022).
Les séries trimestrielles et annuelles des mouvements de main-d'œuvre, basées sur les déclarations des établissements de France métropolitaine du champ privé hors agriculture, hors contrats intérimaires et hors particuliers employeurs.
Au 1er trimestre 2023, en France métropolitaine, 6 504 300 contrats de travail sont signés dans le secteur privé (hors agriculture, intérim et particuliers employeurs), soit 0,7 % de plus qu’au trimestre précédent (après −0,2 % au 4e trimestre 2022).
Cette mobilité accrue correspond surtout à des mouvements vers d’autres entreprises privées, et le plus souvent dans un secteur différent.