Intégration professionnelle des réfugiés
- Le 20 novembre 2019
Comment les dimensions emploi et formation professionnelle sont-elles prises en compte dans les politiques locales d’accueil et d’intégration des réfugiés ?
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Comment les dimensions emploi et formation professionnelle sont-elles prises en compte dans les politiques locales d’accueil et d’intégration des réfugiés ?
Cette enquête vise à décrire les conditions d’accès à l’apprentissage des jeunes ayant cherché à se former par cette voie pour une formation du secondaire ou de niveau Bac+2.
En 2018, le taux d’activité des personnes âgées de 55 à 64 ans est de 56,0 % : 52,1 % sont en emploi et 3,8 % au chômage, soit un taux de chômage (par rapport aux actifs) de 6,9 %.
Les entrées de personnes handicapées dans ces dispositifs de formation concernent un peu plus les hommes et nettement moins les jeunes adultes.
Dans les quartiers prioritaires entre 2010 et 2012, les jeunes accèdent moins souvent à un contrat aidé, marchand ou non marchand, que les jeunes habitant dans les quartiers environnants, au sein des mêmes zones d’emploi.
Ces donnes présentent le nombre de jeunes de moins de 26 ans présents au 31 décembre de chaque année, depuis 1974, dans les différents contrats aidés (apprentissage, contrats de professionnalisation, contrats de qualification, CUI-CIE, emplois d'avenir marchands etc.).
Selon l’enquête « Elipa » de 2010, 13 % des immigrés ayant obtenu un premier titre de séjour d’au moins un an en 2009 sont des réfugiés.
Depuis le début de la décennie 2000, pouvoirs publics et partenaires sociaux ont pris de nombreuses mesures pour inciter au maintien des seniors en activité.
Au cours de l’année 2017, le nombre de personnes en emploi a augmenté de 341 000 en France (hors Mayotte).
Il est plus difficile pour les immigrés que pour les natifs de trouver un emploi dans leur pays d’accueil.