Quels impacts de la crise sanitaire liée au Covid-19 sur le marché du travail ?
- 1 décembre 2022
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Quatre rapports d'études pour mieux comprendre les premiers effets de la crise sanitaire sur le marché du travail.
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Quatre rapports d'études pour mieux comprendre les premiers effets de la crise sanitaire sur le marché du travail.
Elles se sont nettement dégradées pour les métiers recourant fréquemment au télétravail et les métiers dits essentiels au travail intense.
Entre décembre 2020 et mars 2021, le nombre de saisonniers dans les zones de montagne diminue de 58 % par rapport à l’hiver précédent. En moyenne, près de 7 saisonniers sur 10 sont placés au moins une fois chaque mois en activité partielle.
En 2016, 8 % de l’ensemble des salariés de France métropolitaine exercent un métier du nettoyage (ou comportant une activité de nettoyage).
Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble du secteur privé hors agriculture, particuliers employeurs et activités extraterritoriales, l’indice du salaire mensuel de base (SMB) augmente de 0,4 % au 2e trimestre 2018 et de 1,5 % sur un an.
Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, l’indice du salaire mensuel de base (SMB) augmente de 0,6 % au 1er trimestre 2017 et de 1,2 % sur un an.
En 2013, dans un contexte de faible inflation et de modération du rythme de l’activité de négociation salariale de branche, le salaire mensuel de base (entreprises de 10 salariés ou plus du secteur concurrentiel) a progressé de 1,6 % en glissement annuel, après +2,1 % en 2012.
En 2008, 136 000 personnes exercent un métier dit « vert » et plus de 3,5 millions un métier potentiellement « verdissant ».
Les infirmières et aides-soignantes sont plus exposées que les autres salariés à certains produits chimiques cancérogènes et aux radiations.
En 2007, dans le secteur privé et semi-public, la rémunération brute mensuelle moyenne d’un salarié à temps complet s’est élevée à 2 661 euros (+3,1 % par rapport à 2006) et le salaire moyen net de tous prélèvements à 1997 euros (+3,0 %).