Recruter un homme ou une femme, les employeurs ont-ils des préférences ?
- 12 mai 2021
- Autres publications
Dans 84 % des recrutements masculins, les recruteurs déclarent être indifférents au sexe de la personne recrutée.
93 résultats
Dans 84 % des recrutements masculins, les recruteurs déclarent être indifférents au sexe de la personne recrutée.
L'article propose de réfléchir aux rapports sociaux de sexe dans le métier de céramiste d’art.
Les femmes privilégient-elles des métiers où le temps partiel est répandu ou est-ce l’exercice de certains métiers par les femmes qui y favorise le temps partiel ?
Cet article propose d’étudier l’évolution de la mobilité domicile-travail des actifs lyonnais depuis vingt ans (distance domicile-travail parcourue et usage de la voiture pour aller au travail) et de déterminer si l’évolution des indicateurs de mobilité est davantage imputable à une modification de comportements des actifs ou à un changement structurel des caractéristiques de ces derniers.
Entre 2010 et 2015, six travailleurs sur dix ont suivi une formation dans le cadre de la formation professionnelle continue, un peu plus souvent les hommes que les femmes.
L’accès à la formation professionnelle continue est inégalitaire, plus fréquent pour les plus diplômés, les salariés du secteur public et des entreprises de grande taille. Qu’en est-il des différences entre les femmes et les hommes ?
À caractéristiques identiques (personnelles, professionnelles, conditions de travail, etc.), les femmes reçoivent nettement plus souvent de tels reproches, notamment quand elles ont des enfants de moins de 18 ans.
La ségrégation professionnelle entre les femmes et les hommes et la concentration du temps partiel dans les métiers féminisés questionnent sur les rôles respectifs des facteurs liés à la demande et à l’offre de travail.
11 % des salariés exposés au moins 2 heures par semaine à un bruit supérieur à 85dB sont des femmes.