Les demandeurs d'emploi
- 27 mars 2024
5 410 800 demandeurs d'emploi inscrits à France Travail (ex-Pôle emploi) en catégories A, B, C à fin février 2024, en France (soit -0,0 %).
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5 410 800 demandeurs d'emploi inscrits à France Travail (ex-Pôle emploi) en catégories A, B, C à fin février 2024, en France (soit -0,0 %).
Une analyse qualitative, sous la responsabilité scientifique d’un enseignant-chercheur de l’Université Paris-Est Créteil, visant à interroger la logique de construction et de mise en œuvre de dispositifs d’accompagnement et de formation à destination de réfugiés.
Les personnes d’origine maghrébine sont moins souvent recontactées par les recruteurs, elles connaissent un risque de chômage plus fort et elles déclarent plus souvent qu'un emploi leur a été injustement refusé.
Les caractéristiques de ces populations (niveau de diplôme, d'activité, de chômage) évoluent-elles par rapport aux personnes sans ascendance migratoire ? Quelles sont leurs spécificités en termes de métiers et de contrats de travail ?
Covid-19 : face à la crise actuelle, les équipes se sont mobilisées pour exploiter les chiffres du marché du travail à un rythme plus soutenu que d’habitude, et ainsi donner à voir les évolutions en cours.
Bouches-du-Rhône, Gard, Haute-Saône, Ille-et-Vilaine, Nord, Paris, Somme, Val d'Oise : 8 monographies départementales sur la mise en œuvre des politiques en faveur de l’intégration professionnelle des réfugiés.
Le département du Nord est caractérisé par une offre relativement étoffée et l’existence de nombreux dispositifs orientés vers l’intégration professionnelle et le logement. Le département de la Somme aussi se caractérise par une gouvernance et un cadre d’action bien structurés.
L’insertion professionnelle des réfugiés en Haute-Saône est appréhendée sous l’angle de la « durabilité » et du maintien de ces publics BPI sur le territoire.
En Ille-et-Vilaine, un écosystème d’acteurs qui s’est globalement bien saisi de l’enjeu de l’intégration des réfugiés, sous l’impulsion d’une stratégie départementale affirmée.
Comme pour les autres départements littoraux de la région Occitanie, la situation économique apparait moins porteuse pour les réfugiés, avec un taux de chômage parmi les plus élevés (17% contre 14% en moyenne régionale) dans le département du Gard.