Les mouvements de main-d'œuvre au 4e trimestre 2005
- 10 novembre 2006
- Dares Indicateurs N°46.3
Au quatrième trimestre 2005, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim se stabilise dans les établissements d’au moins dix salariés.
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Au quatrième trimestre 2005, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim se stabilise dans les établissements d’au moins dix salariés.
Signe d’une meilleure conjoncture, au troisième trimestre 2005, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim progresse à nouveau très légèrement pour le deuxième trimestre consécutif.
Au deuxième trimestre 2005, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim repart à la hausse dans les établissements de plus de dix salariés.
Dans le secteur des emplois familiaux, les salariés ont travaillé près de 650 millions d’heures en 2004, soit une progression de 4 % par rapport à l’année précédente.
Les très petites entreprises (TPE) recourent davantage à des formes d’emploi à durée limitée ou à temps partiel et à des contrats aidés par l’État que leurs homologues de 10 salariés ou plus.
Au premier trimestre 2005, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim fléchit dans les trois grands secteurs d’activité.
Les flux de main-d'oeuvre fléchissent au début de l'année 2002, en raison d'un repli des entrées pour tous les secteurs, conduisant à un resserrement du solde des entrées et des sorties.
Les flux de main-d'œuvre se redressent à la fin de l'année 2001 avec davantage d'entrées, en raison d'une reprise dans la construction et le tertiaire.
Au troisième trimestre 2001, la mobilité des salariés reste élevée, bien qu'en légère diminution sur un an.
Une progression des embauches de 40 % entre 1996 et 2000.