Le travail à l’ère du numérique : vers un renouveau du dialogue social ?
- Le 5 novembre 2018
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Ce document d’études présente l’analyse de 43 accords d’entreprise, parmi les premiers traitant de la fusion des IRP, et permet de tirer certains enseignements quant aux motivations, à la mise en place et au fonctionnement des IRP regroupées.
En 2015, dans le secteur privé et les entreprises publiques, la rémunération mensuelle moyenne des salariés en équivalent temps plein (EQTP) s’élève à 3 000 euros en brut et à 2 251 euros nette de tous prélèvements sociaux.
En 2017, l’activité de négociation salariale de branche est un peu plus vigoureuse qu’en 2016, et le salaire mensuel de base (SMB) dans les entreprises de 10 salariés ou plus progresse de 1,4 % en glissement annuel, après +1,2 % en 2016.
Quels types de regroupements ont été mis en place? Quels sont les motifs de fusion des instances représentatives du personnel ?
Fin 2015, 15,5 millions de salariés sont couverts par 717 conventions collectives de branche (hors branches agricoles), lesquelles sont regroupées en 464 conventions collectives agrégées.
Entre 2001 et 2012 la part de femmes parmi les élus titulaires aux comités d’entreprise ou d’établissement (CE) et aux délégations uniques du personnel (DUP) est passée de 32 % à 40 %.
En 2009, dans le secteur privé et semi-public, la rémunération brute mensuelle moyenne des salariés en équivalent-temps plein était de 2 708 euros (+1,0 % par rapport à 2008) et le salaire moyen net de tous prélèvements sociaux de 2 042 euros (+1,3 %).
Au cours de l’année 2010, le salaire mensuel de base (SMB) des salariés des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur concurrentiel a augmenté de 1,8 % en glissement annuel, après +1,9 % en 2009.