Conditions de travail et précarité dans l'emploi
- 8 juillet 2009
- Dares Analyses N°28.2
Les CDI craignant de perdre leur emploi cumulent de nombreux risques dans leur travail.
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Les CDI craignant de perdre leur emploi cumulent de nombreux risques dans leur travail.
Si 37 % des salariés ont des horaires « normaux », près de deux salariés sur trois travaillent selon des horaires que l’on qualifie habituellement « d’atypiques ».
À métier et secteur d’activité comparable, les salariés immigrés, et plus particulièrement les étrangers, ont des conditions de travail spécifiques. Les immigrés sont davantage exposés à des postures « pénibles ou fatigantes à la longue ».
Atteignant 27 milliards d’euros en 2006, la dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage s’est accrue d’un milliard d’euros (+3,9 %) par rapport à 2005.
Les très petites entreprises (TPE) recourent davantage à des formes d’emploi à durée limitée, temps partiel ou à des contrats aidés par l’État que les entreprises de 10 salariés ou plus.
En 2003, un quart des seniors (50 à 59 ans) dont la carrière professionnelle a duré au moins vingt ans, sont sortis de l’emploi : ils sont retraités, préretraités, chômeurs ou inactifs.
En 2005, le chiffre d’affaires des organismes de formation professionnelle continue s’est stabilisé à 5,4 milliards d’euros, soit 0,9 % de moins qu’en 2004.
25,9 milliards d’euros, tel est le montant de la dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage en 2005. L’effort de formation de la nation reste stable, à 1,5 % du PIB.
La dépense nationale pour la formation professionnelle continue et l’apprentissage a augmenté de 2,4 % en 2004, portant sa hausse à 8,1 % depuis 1999.
L’analyse des réponses jusqu’à mars 2003 montre que le CIE est efficace du point de vue du retour à l’emploi et de l’amélioration du niveau de vie, alors que les CES et les SIFE n’améliorent pas la situation des bénéficiaires par rapport aux trajectoires des témoins.