Les préretraités dans l'enquête Emploi depuis 2014
- 13 mars 2024
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Cette note présente des résultats exploratoires autour des dispositifs de préretraite tels qu’ils sont déclarés dans l’enquête Emploi.
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Cette note présente des résultats exploratoires autour des dispositifs de préretraite tels qu’ils sont déclarés dans l’enquête Emploi.
En moyenne entre 2018 et 2021, à l’issue d’un Plan de sauvegarde de l’emploi (PSE), 63 % des salariés concernés sont licenciés et 27 % optent pour un départ volontaire, tandis que les salariés restants sont reclassés en interne au sein de l’entreprise ou de son groupe sans rupture de contrat.
Au 3e trimestre 2023, 240 500 licenciements ont lieu en France métropolitaine sur le champ privé hors agriculture, intérim et particuliers employeurs (−1,8 % par rapport au trimestre précédent), dont 20 300 licenciements pour motif économique (−0,1 %) et 220 200 licenciements pour un motif autre qu’économique (−2,0 %).
Au 3e trimestre 2023, 130 100 ruptures conventionnelles ont lieu en France métropolitaine sur le champ privé hors agriculture et particuliers employeurs (+1,9 % par rapport au trimestre précédent).
Sur les trente dernières années, la part des ménages sans emploi croît de façon quasi continue, alors que, jusqu’en 2008, la proportion de personnes sans emploi dans la population en âge de travailler diminue sous l’effet de la hausse de l’emploi féminin.
La diminution de la taille des ménages constitue le principal facteur d’augmentation de la part des ménages sans emploi : elle y contribue pour 1,3 point entre 1990 et 2001, 0,6 point entre 2001 et 2009 et 1,0 point entre 2009 et 2019.
La présente étude analyse 74 conditions de travail des femmes et des hommes salariés issus de 88 professions. Elle rend compte de la plus forte exposition des hommes à la pénibilité physique et des femmes aux risques psychosociaux.
Lors du premier confinement de la population, le temps de travail des salariés à temps complet a baissé de 9,9 heures en moyenne par semaine comparativement aux années précédentes.
290 000 salariés bénéficieraient de l’activité partielle en mars 2022, un nombre en recul par rapport à février (- 80 000), et le plus bas depuis mars 2020.
410 000 salariés bénéficieraient de l’activité partielle en février 2022, un nombre en recul par rapport à janvier (- 70 000).